Le monde entier vient de célébrer l’arrivée de la nouvelle année, saluant ainsi le premier quart de siècle de notre deuxième millénaire. Dans de nombreux pays, ce passage incontournable donne naissance à une joyeuse débauche de feux d’artifices : innocentes explosions lancées à l’assaut du ciel en gerbes lumineuses de fleurs et d’étoiles, beauté, poésie, féerie provoquant la liesse du peuple émerveillé à qui est offert ce spectacle grandiose.
Dans l’antiquité, les empereurs offraient des combats de gladiateurs et des jeux de cirque pour apaiser le mécontentement des citoyens et adoucir leur misère. Aujourd’hui, on offre des feux d’artifice, c’est encore mieux ! L’artifice n’est-il pas un moyen habile de cacher la vérité, de dissimuler une situation problématique, de tromper ?
Qu’importe, le feu d’artifice est fédérateur, c’est un joli stratagème qui, hormis nos oreilles, ne fait de mal à personne.
Il faut se réjouir de ces explosions de joie, même si elles sont éphémères et un peu factices. D’autres citoyens du monde, moins chanceux, sont victimes d’explosions meurtrières qui hélas n’ont rien d’artificiel et laissent derrière elles le chaos et l’effroi.
Et pourtant, notre vieille boule roule toujours dans le ciel et se rit de nos vaines pétarades.
Merci pour ces charmantes pensées. Bonne année à toutes et tous que je vous souhaite pleine de petits bonheurs du quotidien!
Claudine
Bonjour et bonne année,
Quel lieu merveilleux que votre jardin. Je ne peux résister: je vous envoi un lien sur les effets négatifs des spectacles de feu d’artifice et deux suggestions de spectacles alternatifs.
Bonne continuation. Bien respectueusement Jennifer Delrieu
Toujours aussi merveilleusement exprimé… Merci
Longue vie aux merveilleux jardins secrets et à ceux qui les magnifient.
Bonjour
Voilà un article très pertinent et oh combien vrai.
Le monde est en mutation « ère du verseau » et ce sera une mutation douloureuse qui doit dans le temps déboucher sur une élévation de l’Humanité.
Merci pour la beauté de vos jardins et cet écrit plein de conscience
Maryse Laberge